Par jour, tu vas consommer une quantité de son ÉNORME sans même savoir que les plus gros bangers de ta playlist sont parfois des samples. Créer, utiliser et jeter, l’humain le fait toujours. Et dans le domaine musical, les beatmakers se font un plaisir de réutiliser le passé.
Là où beaucoup voient le manque de créativité et du “copiage” d’autres y trouvent un génie et un retour aux sources. Dans le milieu du rap dans les années 80, les DJ et les artistes utilisaient le sampling pour leurs performances. Le principe du sample ? c’est tout simplement la réutilisation d’un enregistrement, d’une mélodie ou d’une voix pour en faire un autre son.
PLAGIAT OU GÉNIE ?
Problématique de cette technique… roulement de tambours …LES DROITS D’AUTEURS! Aujourd’hui, la majorité des sons sont protégés pour éviter ça ! Cependant certains artistes utilisent des morceaux d’autres pays ce qui allonge le temps entre le moment de la création et le moment où le Beatmaker se fait chopper !
Exemple JeanJass, rappeur compositeur de la scène belge a réalisé un son en 2017 pour Lomepal et 5 ans plus tard, le Beatmaker se doit de payer les droits. Comme il le dit au micro de Mehdi Maïzi dans Le Code: “ils m’ont retrouvé…je paye ce que je dois, c’est le jeu “.
Et toi tu en penses quoi ? c’est du vol ou du Génie ?

Photo 1 : © Techivation sur Unsplash
Photo 2 : Mehdi Maïzi et JeanJass sur Instagram de @jeanjass